Le trident de Alan Andrews représente essentiellement des couloirs de fluctuations composés de trois lignes parallèles avec une partie inférieure et une partie supérieure qui peuvent se subdiviser en couloir intermédiaire. Le manche de la fourche, l’axe principal est un point pivot qui départage les 2 principaux couloirs du trident. Lorsqu’un couloir est défoncé par le haut ou par le bas, cela exprime la force ou la faiblesse de la tendance en cour. La partie inférieure ou supérieure de chaque corridor symbolise une zone potentielle de supports ou de résistance, ces zones de supports/résistances deviennent des points de bascule qui nous renseignent sur l’évolution de la trajectoire de la valeur suivie. Quand l’axe médian de la fourche est défoncé par le haut, le prochain objectif devient la zone intermédiaire du couloir supérieur et par la suite la partie haute du canal supérieur est la cible suivante.
Sur la section basse du premier graphique de l’indice de Toronto, on peut constater que la base de l’axe de la fourche de Andrews a été positionnée sur le creux du mois d’octobre 2002. Ce creux représente la partie la plus basse de l’indice depuis les treize dernières années, pour avoir un creux plus bas et tout aussi significatif, il faut remonter jusqu’en 1993. Alors, la base de l’axe du trident, le point d’ancrage numéro 1 de la fourche est placer à un endroit très significatif. Le placement du point d’ancrage numéro 2 et 3 a été très facile à déterminer, il s’agît du sommet historique de l’indice à 15,154 points et le creux du mois de mars 2009 à 7,479 points.
Je viens tout juste d’expliquer la mécanique décisionnelle qui m’a permis de construire le trident qu’il y a sur le graphique de l’indice torontois, afin de démontrer l’absence de paramètre aléatoire lorsque j’ai tracé cette fourche. Ces trois points d’ancrage ont été forgés par le marché et représente des points importants de la courbe graphique de l’indice TSX. La partie haute et basse illustre le même graphique en mode «zoom in - zoom out».
On peut constater sur ce graphique que l’axe majeur du trident remplit pleinement son rôle de résistance, car l’indice de Toronto est venu se buter le nez à plusieurs reprises sur ce rempart. Selon Andrews, il y a 80% de probabilité que la courbe des prix revienne jusqu’à la zone médiane, l’axe principal de la fourche et c’est exactement ce qui est arrivé avec l’indice de Toronto.
Je le mentionnais plus haut, l’axe principal est un point pivot qui départage les 2 principaux couloirs du trident. Alors cette zone est un point pivot qu’il faudra observer avec une grande attention, car si cette zone résistance est défoncée par le haut de façon significative, cela représentera potentiellement la continuité du momentum haussier avec pour objectif la zone intermédiaire du couloir supérieur situé dans la zone des 15,000 points (ligne pointillée bleue), soit a peu de chose près le sommet historique des 15,154 points.
Mais une étape à la fois, il faut tout d’abord que la zone résistance des 12,400 points soit défoncée par le haut pour provoqué la transition entre le couloir inférieur et supérieur de la fourche et ainsi accéder d’une certaine façon à un changement de niveau et d’objectif prospectif.
Sur la section basse du premier graphique de l’indice de Toronto, on peut constater que la base de l’axe de la fourche de Andrews a été positionnée sur le creux du mois d’octobre 2002. Ce creux représente la partie la plus basse de l’indice depuis les treize dernières années, pour avoir un creux plus bas et tout aussi significatif, il faut remonter jusqu’en 1993. Alors, la base de l’axe du trident, le point d’ancrage numéro 1 de la fourche est placer à un endroit très significatif. Le placement du point d’ancrage numéro 2 et 3 a été très facile à déterminer, il s’agît du sommet historique de l’indice à 15,154 points et le creux du mois de mars 2009 à 7,479 points.
Je viens tout juste d’expliquer la mécanique décisionnelle qui m’a permis de construire le trident qu’il y a sur le graphique de l’indice torontois, afin de démontrer l’absence de paramètre aléatoire lorsque j’ai tracé cette fourche. Ces trois points d’ancrage ont été forgés par le marché et représente des points importants de la courbe graphique de l’indice TSX. La partie haute et basse illustre le même graphique en mode «zoom in - zoom out».
On peut constater sur ce graphique que l’axe majeur du trident remplit pleinement son rôle de résistance, car l’indice de Toronto est venu se buter le nez à plusieurs reprises sur ce rempart. Selon Andrews, il y a 80% de probabilité que la courbe des prix revienne jusqu’à la zone médiane, l’axe principal de la fourche et c’est exactement ce qui est arrivé avec l’indice de Toronto.
Je le mentionnais plus haut, l’axe principal est un point pivot qui départage les 2 principaux couloirs du trident. Alors cette zone est un point pivot qu’il faudra observer avec une grande attention, car si cette zone résistance est défoncée par le haut de façon significative, cela représentera potentiellement la continuité du momentum haussier avec pour objectif la zone intermédiaire du couloir supérieur situé dans la zone des 15,000 points (ligne pointillée bleue), soit a peu de chose près le sommet historique des 15,154 points.
Mais une étape à la fois, il faut tout d’abord que la zone résistance des 12,400 points soit défoncée par le haut pour provoqué la transition entre le couloir inférieur et supérieur de la fourche et ainsi accéder d’une certaine façon à un changement de niveau et d’objectif prospectif.
À court terme l’objectif cible pour l’indice de Toronto
est la zone des 12,400 à 12,500 points.
17 novembre dernier : si la résistance de la zone des 11,816 points cède sous la pression haussière, le prochain objectif prospectif est situé à 12,550 points.
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