Samedi 3 avril 2010: «Le trident de Alan Andrews représente essentiellement des couloirs de fluctuations composés de trois lignes parallèles avec une partie inférieure et une partie supérieure qui peuvent se subdiviser en couloir intermédiaire. Le manche de la fourche, l’axe principal est un point pivot qui départage les 2 principaux couloirs du trident.
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Lorsqu’un couloir est défoncé par le haut ou par le bas, cela exprime la force ou la faiblesse de la tendance en cour. La partie inférieure ou supérieure de chaque corridor symbolise une zone potentielle de supports ou de résistance, ces zones de supports/résistances deviennent des points de bascule qui nous renseignent sur l’évolution de la trajectoire de la valeur suivie. Quand l’axe médian de la fourche est défoncé par le haut, le prochain objectif devient la zone intermédiaire du couloir supérieur et par la suite la partie haute du canal supérieur est la cible suivante.
Sur la section basse du premier graphique de l’indice de Toronto, on peut constater que la base de l’axe de la fourche de Andrews a été positionnée sur le creux du mois d’octobre 2002. Ce creux représente la partie la plus basse de l’indice depuis les treize dernières années, pour avoir un creux plus bas et tout aussi significatif, il faut remonter jusqu’en 1993. Alors, la base de l’axe du trident, le point d’ancrage numéro 1 de la fourche est placer à un endroit très significatif. Le placement du point d’ancrage numéro 2 et 3 a été très facile à déterminer, il s’agît du sommet historique de l’indice à 15,154 points et le creux du mois de mars 2009 à 7,479 points.
Je viens tout juste d’expliquer la mécanique décisionnelle qui m’a permis de construire le trident qu’il y a sur le graphique de l’indice torontois, afin de démontrer l’absence de paramètre aléatoire lorsque j’ai tracé cette fourche. Ces trois points d’ancrage ont été forgés par le marché et représente des points importants de la courbe graphique de l’indice TSX».
Sur la section basse du premier graphique de l’indice de Toronto, on peut constater que la base de l’axe de la fourche de Andrews a été positionnée sur le creux du mois d’octobre 2002. Ce creux représente la partie la plus basse de l’indice depuis les treize dernières années, pour avoir un creux plus bas et tout aussi significatif, il faut remonter jusqu’en 1993. Alors, la base de l’axe du trident, le point d’ancrage numéro 1 de la fourche est placer à un endroit très significatif. Le placement du point d’ancrage numéro 2 et 3 a été très facile à déterminer, il s’agît du sommet historique de l’indice à 15,154 points et le creux du mois de mars 2009 à 7,479 points.
Je viens tout juste d’expliquer la mécanique décisionnelle qui m’a permis de construire le trident qu’il y a sur le graphique de l’indice torontois, afin de démontrer l’absence de paramètre aléatoire lorsque j’ai tracé cette fourche. Ces trois points d’ancrage ont été forgés par le marché et représente des points importants de la courbe graphique de l’indice TSX».
Lundi 6 décembre 2010: «Depuis 15 mois, l’axe principal du trident représente une zone résistance très importante pour le TSX, ce rempart lorsqu’il sera dépassé deviendra potentiellement une zone support pour l’indice, un point de bascule très significatif aura été franchi».
Dimanche 20 février 2011
Depuis maintenant bientôt trois mois que la courbe des points a franchi la zone résistance représenter par la ligne rouge diagonale située sur l’axe médian principal du trident. Cette zone était en mode résistance depuis pratiquement 1 an et demi, alors lorsqu’au mois de décembre dernier cette résistance très significative à été défoncé, un nouveau momentum haussier c’est enclenché ce qui a créé la grande chandelle de type Marubozu du mois de décembre 2010.
Dans la dynamique des mouvements de la fourche de Andrews, tel que mentionné plus haut «Quand l’axe médian de la fourche est défoncé par le haut, le prochain objectif devient la zone intermédiaire du couloir supérieur». Sur le graphique plus bas, le prochain objectif est illustré par la ligne diagonale grise en pointillé, mais lorsque la fenêtre de temps est relativement grande ou que les écarts de points d’un trident sont relativement élevés, vous pouvez subdivisé aux besoins chaque canal principal de la fourche afin d’établir des objectifs à plus court terme.
Depuis maintenant bientôt trois mois que la courbe des points a franchi la zone résistance représenter par la ligne rouge diagonale située sur l’axe médian principal du trident. Cette zone était en mode résistance depuis pratiquement 1 an et demi, alors lorsqu’au mois de décembre dernier cette résistance très significative à été défoncé, un nouveau momentum haussier c’est enclenché ce qui a créé la grande chandelle de type Marubozu du mois de décembre 2010.
Dans la dynamique des mouvements de la fourche de Andrews, tel que mentionné plus haut «Quand l’axe médian de la fourche est défoncé par le haut, le prochain objectif devient la zone intermédiaire du couloir supérieur». Sur le graphique plus bas, le prochain objectif est illustré par la ligne diagonale grise en pointillé, mais lorsque la fenêtre de temps est relativement grande ou que les écarts de points d’un trident sont relativement élevés, vous pouvez subdivisé aux besoins chaque canal principal de la fourche afin d’établir des objectifs à plus court terme.
La subdivision de la partie basse en haut de l’axe principal, le manche de la fourche est représenté sur le graphique par la ligne verte diagonale en pointillé, vous aurez sûrement remarqué que cette cible prospective coïncide avec le sommet historique des 15,154 points de l’indice de Toronto, alors voilà le prochain objectif a atteindre selon la dynamique des mouvements de Andrews, alors en route potentiellement vers le sommet antérieur du TSX.
Pour consulter la dernière analyse de l’indice de Toronto du 20 février, cliquez ICI
Pour l’analyse précédente concernant le trident de Allan Andrews, cliquez ICI
Claude Bordeleau
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Claude Bordeleau
L’observateur technique, analyse des marchés boursiers
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